Dans Récits de voyage

Il les aime hauts et enneigés. Georges nous parle du Népal. Nous ne perdrons pas notre temps à, de nouveau, présenter ce monstre sacré de l’Himalaya. C’est pas le yeti, mais les photos de lui se vendent à prix d’or. Avis aux amateurs…

Le Népal a connu un regain de succès l’an passé, qu’en penses-tu ?
Oui même s’il est modéré par la crise économique, on a pu constater depuis un peu plus d’un an un vrai retour sur ces lieux de treks mythiques suite à l’apaisement politique local après des années difficiles.

On se retrouve donc encore et toujours face aux mêmes circuits, dans les Annapurnas ou dans le Khumbu (région de l’Everest). Des grands classiques qui, s’ils ont fait leurs preuves depuis bien longtemps, ne doivent plus rester les seules options possibles.

Dans ce cas, que proposer à nos clients ?
Il n’est évidemment pas question de leur dicter leur choix, ou de les dissuader de quoi que ce soit. Nous expliquons simplement que chez Nomade, nous aimons les chemins détournés, les itinéraires moins fréquentés, voire inédits, et que l’on cultive cela avec amour et enthousiasme dans notre production.

A quels voyages penses tu ?
En haute saison de trek (octobre, novembre, mars et avril) il y a l’Helambu en 13 ou 17 jrs. En 24 jours il y a la vallée de la Tsum (une exclusivité Nomade) et un nouveau-né au Solu terre bouddhiste dans les contreforts du Khumbu.

Hors saison et par ailleurs hors habitude de marche au Népal en plein hiver (car sans altitude et donc sans risque de neige NDLR), nous avons de nouveaux voyages à la rencontre des paysans, de la ruralité népalaise profonde, sous tente avec cuisiniers et porteurs, dans des zones sans lodge ni restaurant. Du Nomade pur beurre !

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